Suite de notre article consacré à l’analyse des points du Mémorandum de l’UVCW qui touchent à l’informatisation des pouvoirs locaux, à l’e-gouvernement et aux infrastructures.
Dans cette deuxième partie de notre article consacré au Mémorandum de l’UVCW, il sera question du rôle de l’eWBS, successeur d’EasiWal, d’IMIO, mais aussi de la légitimité qu’il y aurait pour les communes de “monétiser” certaines de leurs infrastructures. En ligne de mire: faire passer les opérateurs télécom à la caisse.
Un champ d’action élargi
Le mémorandum de l’UVCW consacre l’un de ses chapitres au rôle de l’eWBS (e-Wallonie Bruxelles Simplification). On y lit notamment ce qui suit: “le développement d’outils de simplification, par l’eWBS, successeur d’EasiWal, sera concerté en amont avec l’UVCW afin qu’ils puissent être réalisés de manière telle que leur implémentation au sein des pouvoirs locaux réponde réellement aux besoins de ces derniers. […] Dans ce cadre, l’UVCW et l’eWBS renforceront leur collaboration.”
Cela signifie-t-il que l’UVCW regrette qu’il y avait actuellement un écart, une non-compréhension de la réalité de terrain?
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Morceaux choisis: “Ce n’est pas au privé de jouer les conseillers pour le montage de projets smart cities.” Ou encore: “Les communes ne comprennent pas que certains acteurs puissent exploiter la voire, poser des câbles…, sans que cela rapporte quoi que ce soit”. En ligne de mire les opérateurs télécom…
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