Ulrich Penzkofer, patron du groupe NRB, a annoncé son départ (effectif d’ici quelques mois). Nous lui avons posé quelques questions pour faire le bilan de son action – les réussites et les moins bons résultats -, parler de l’avenir de la société, du profil de son successeur, des ambitions stratégiques à perpétuer.
Régional-IT: Monsieur Penzkofer, vous expliquez votre départ par le fait que vous estimez avoir rempli la mission qui était la vôtre, en l’occurrence celle de “turnaround manager”. Pouvez-vous préciser pourquoi vous avez pris cette décision?
Ulrich Penzkofer: Je suis chez NRB depuis plus de 4 ans. Je reste jusqu’à la fin de l’année. J’estime que 5 ans, c’est une période déjà importante pour réorienter une société qui en avant besoin et qui, à mon arrivée en 2012, connaissait des problèmes évidents. A savoir, un recul du chiffre d’affaires depuis 2009, la perte régulière de clients…
Aujourd’hui, les choses ont fortement changé. Je trouve que le moment est venu de me trouver un nouveau défi. Après les changements profonds qui sont intervenus, même si le marché reste très agile, l’avenir de NRB est stable. C’est sans doute mieux qu’il y ait maintenant un autre type de manager qui prenne la relève.
Vous estimez avoir réussi ce qu’on attendait de vous. Parmi les paramètres de redressement, certains vous paraissent mieux réussis que d’autres? Quels sont les axes sur lesquels il faut encore persévérer?
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