Dépasser le réflexe de la souveraineté nationale pour la transposer à l’échelle de l’Union. Réaliste? Mirage? Doux rêve? Sans doute un peu de tout cela. A doses variables.
C’était en tout cas le thème de la séance-débat de clôture pour le cycle de conférences Homo Numericus, organisé conjointement par la Belgique et la France à la veille de la prise de présidence de l’UE par cette dernière: “Souveraineté numérique et autonomie stratégique”.
Débatteurs: Mathieu Michel, secrétaire d’Etat à la Digitalisation et à la Simplification administrative (qui nous a par ailleurs accordé une interview), et Henri Verdier, Ambassadeur français aux Affaires Numérique.
“Souveraineté” numérique, c’est-à-dire?
Les raisons et arguments ne manquent pas pour justifier (ou encourager) une “souveraineté numérique” de l’Europe. Compétitivité, potentiel à
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