Les premières protégées de Digital Attraxion

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Par · 21/04/2017

Lancement officiel, cette semaine, de l’accélérateur hennuyer de start-ups numériques Digital Attraxion. Un accélérateur que nous vous avions déjà présenté et qui profitait de sa séance inaugurale pour dévoiler les noms des premières jeunes pousses sélectionnées.

  • Tafsquare, auteur d’une solution de mise en relation entre entreprises (de toutes tailles et de tous secteurs) et les professionnels (ayant un statut d’indépendant) auxquels elles désirent pouvoir faire appel pour une prestation (“taf”) ponctuelle ou délimitée dans le temps
  • * Acas Technologies, qui a développé une appli pour bracelet connecté pour enfants; le bracelet, baptisé OkiDoPLay, rechargeable via connexion USB, communique en bluetooth vers le smartphone et géolocalise l’enfant, évitant ainsi toute panique s’il s’éloigne un peu trop du périmètre de surveillance des adultes. L’appli est paramétrable selon le souhait du parent ou du surveillant, en termes de distance, de degré de sensibilité déclenchant une alerte…
  • Humble, solution de collecte et de traitement de big data à l’usage des concessionnaires automobiles, pour leurs départements avant-vente, après-vente et gestion financière. La start-up s’appuie notamment sur les logiciels décisionnels Qlik.

Sous le signe du chiffre 3

Petit rappel-minute de ce qui caractérise l’accélérateur…

  • 3 invests hennuyères (sans compter d’autres acteurs de l’animation économique locale – MIC, IDEA, centre Héraclès…) font cause commune, supportent cet accélérateur (y injectant des moyens) et attendent de lui. Ces 3 invests sont Sambrinvest (Charleroi), IMBC Spinnova (Mons), WAPinvest (Wallonie picarde)
  • 3 actions au bénéfice des start-ups: coaching, financement, réseautage
  • 3 phases dans le parcours d’accélération: moteur interne ; acquisition de clients ; rétention de clients
  • 3 personnes à la manoeuvre au quotidien: Guillaume Béland, qui officie en tant que directeur ; Denys Bornauw, responsable des relations avec les acteurs institutionnels locaux et les “corporate” (grandes entreprises que l’accélérateur désire impliquer, soit comme co-organisateurs d’activités, co-cogitateurs sur des problématiques abordées par les projets, et/ou comme investisseurs dans les start-ups) ; et Julie Cruyt (Beta Group) qui opère comme responsable communications
  • principes de base: partage d’expériences entre start-ups et avec l’écosystème, approche orientée résultats (prière d’avoir déjà un objectif précis en déposant sa candidature et évaluation des progrès accomplis et buts atteints au bout du cycle d’accélération).